Notre équipe
Une équipe dévouée, avec coeur et passion.
Des parcours diversifiés, une vision commune.
Les musicothérapeutes, dirigeants et membres du conseil d’administration de notre talentueuse équipe unissent leurs efforts pour mieux faire connaître la musicothérapie et en faciliter l’accès à la communauté.
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Le Conseil d’administration et l’équipe de direction regroupent des musicothérapeutes, des gestionnaires et des professionnels de la santé et de l’éducation désirant contribuer à l’avancement de la musicothérapie, et guider l’Institut vers la réalisation de sa mission.
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Les professionnels de notre équipe sont des musicothérapeutes certifiés (MTA) et ils offrent leurs services en s'impliquant dans les différents champs d'action de l'Institut, en fonction de leurs qualifications et de leurs intérêts. La contribution de chacun peut être ponctuelle et de courte durée, ou sur une base régulière et à plus long terme, selon leur disponibilité et la nature des projets.
Suzanne n’a jamais hésité à relever des défis jugés intimidants par d’autres. En parallèle avec sa vie professionnelle et familiale, son engagement au sein de la Ville de Mont-Royal s’est échelonné sur près de quatre décennies. Son implication dans les écoles du quartier, ensuite comme conseillère municipale, mairesse puis responsable de l'organisation de nombreux événements communautaires, lui a valu en 2019 le Prix du Mérite - Grands Monterois. Après 35 ans de carrière en affaires, elle cherche à combiner sa passion pour la musique et son besoin de continuer à aider les gens: elle retourne aux études à l’Université Concordia et devient musicothérapeute certifiée en 2012. Conjuguant son désir de contribuer à la société, ses habiletés de leadership, ses compétences en gestion et ses qualifications en musicothérapie, elle fonde l’Institut. Et ce n’est qu’un début : « Bien que fiers du chemin parcouru, il reste beaucoup à faire pour que la musicothérapie soit mieux comprise, davantage reconnue, soutenue financièrement et plus facile d’accès ».
Plus de 35 ans de pratique en médecine ont permis à Debbie de constater une déconnexion marquée entre la communauté médicale et le domaine de la musicothérapie. Selon son expérience, les médecins de famille se font un devoir de connaître l’éventail de traitements complémentaires pour leurs patients, incluant la physiothérapie, l’ostéopathie, l’acupuncture et bien d’autres, mais leur compréhension et recours à la musicothérapie se sont avérés limités. Avec son implication au sein de l’Institut, Debbie cherche à la fois à comprendre pourquoi et à trouver des façons de combler cette lacune. Sa vision pour l’Institut comporte deux volets: remédier à la méconnaissance de la musicothérapie et de ses bienfaits au sein des milieux de la santé et de l’enseignement, et accroître la visibilité de la musicothérapie dans la population en général. Des partenariats visant à informer et à sensibiliser seront fondamentaux pour favoriser l’accès à la musicothérapie et une meilleure intégration pour tous.
En matière de leadership, les compétences organisationnelles de Gaëtane s’avèrent un atout partout où elle s’implique. Depuis plus de 40 ans, ses rôles d’enseignement et de supervision l’ont amenée à encadrer l’éducation et le bien-être de milliers d’élèves, tant au niveau primaire et secondaire, qu’universitaire. Selon Gaëtane, toute bonne stratégie ne sera efficace que si elle est bien exécutée. Elle a mis sur pied des services éducatifs pour des élèves avec TDAH, élaboré et évalué des plans d’intervention adaptés aux besoins particuliers d'étudiants, tout en offrant des ressources appropriées, a contribué au développement de programmes d’études pour diverses populations étudiantes et instauré d’importants partenariats avec les parents et la communauté. Elle a encouragé le développement d’un projet d’école bien spécial, avec des élèves récemment immigrés: initialement conçu comme pièce de théâtre, le succès obtenu a mené à un film documentaire intitulé Bagages. Elle est enthousiaste face au travail entrepris par l’Institut et son impact sur l’avenir de la musicothérapie.
Guylaine joue du piano depuis l’âge de 6 ans: la musique fait donc partie de sa vie depuis presque toujours. Animée par son autre passion de prendre soin des autres, ses études l’ont d’abord menée vers la profession d’infirmière. Convaincue du rôle important que la musique peut jouer dans l’ensemble des milieux de la santé et de l’action communautaire, elle retourne aux études pour devenir musicothérapeute. Elle se spécialise aujourd’hui en santé mentale et en soins palliatifs. Qu’il s’agisse de nourrissons très prématurés ou de personnes âgées et de leurs proches aidants, elle est convaincue que la musicothérapie peut aider, au-delà des limitations physiques et cognitives. À ses yeux, l’Institut joue un rôle critique dans la communauté, en offrant des ressources précieuses, en facilitant l’accès à la musicothérapie et en supportant la nouvelle génération de musicothérapeutes. Selon Guylaine, il reste tant à découvrir et à explorer, et l’Institut est au cœur du progrès de cette profession.
D'aussi loin qu'elle se souvienne, Alejandra a toujours eu une chanson dans son cœur, du rythme dans sa démarche et une compassion envers la condition humaine. En devenant musicothérapeute, elle joint son amour de la musique et sa passion pour aider les gens. Elle obtient un baccalauréat en musicothérapie aux États-Unis (2018) et sa certification de MTA (2019) ; elle est « Neurologic Music Therapy Fellow » (2022) et complète présentement sa Maîtrise en musicothérapie à l’Université Concordia (est. 2025). Alejandra a travaillé avec des clients de tous âges et conditions, à travers l’Amérique du Nord et l’Amérique latine. Coordinatrice d’une clinique de musicothérapie pendant 4 ans, elle y a offert des séances de musicothérapie, de la supervision et des services administratifs. C’est avec enthousiasme qu’elle se joint à l’Institut en vue de contribuer à l’avancement de sa mission, incluant un inspirant désir de rejoindre aussi la communauté de langue espagnole.
Dès l’âge de 14 ans, Samantha pressentait que la musique pouvait aider à la gestion des émotions, ce qui l’a menée vers la musicothérapie. Elle se spécialise aujourd’hui en soins palliatifs, soutenant les personnes en fin de vie et leur famille. Que ce soit par le biais d’un projet d’héritage grâce auquel une personne crée et lègue un testament musical personnalisé, ou en soutenant les proches aidants et l’entourage familial dans leur cheminement et leur deuil, Samantha est bien outillée pour accompagner ceux qui sont confrontés à la perte, au deuil et à l’inconnu. Pour Samantha, en plus d’être une source de réconfort lors de la perte d’un être cher, la musicothérapie permet d’atteindre une certaine clarté et sérénité, en favorisant l’expression, facilitant la connexion aux autres et à l’univers autour de soi, dans ces moments de souffrance. Samantha détient une Maîtrise en Arts, en musicothérapie, de l’Université Concordia.
Nadia dit être née dans un berceau de musique, et que la musicothérapie l'interpelle depuis son adolescence. Musicienne passionnée et humaniste, elle a découvert le monde grâce à ses différents genres musicaux, du classique au jazz, en passant par la musique traditionnelle du Québec et d’Europe de l’Est. Son ouverture d’esprit teinte sa pratique, s’adressant à une diversité de problématiques, dont la toxicomanie, les troubles du développement, l’autisme, les soins palliatifs et le soutien aux proches aidants. Nadia travaille également avec de jeunes immigrants, dans le cadre d’un programme visant à faciliter leur intégration scolaire. Musicienne engagée s’intéressant depuis toujours à la culture, Nadia croit plus que jamais que les arts jouent un rôle essentiel pour aider chacun à trouver sa vérité, ainsi que la beauté et l'ouverture au monde qui nous entoure.
En tant que bassiste et contrebassiste professionnelle, le rythme et l’équilibre ont toujours été des composantes essentielles dans la vie de Claudia. La musicothérapie s’est d’ailleurs imposée à elle tout naturellement, puisque cette profession lui permet de combiner sa passion pour la musique et sa volonté d’aider les autres. Comme musicothérapeute, elle a trouvé un juste équilibre pour exprimer ses valeurs personnelles et professionnelles. En travaillant auprès de personnes autistes, avec des troubles de santé mentale ou avec une déficience intellectuelle, elle a pu constater d’elle-même l’important impact que les arts peuvent avoir sur le bien-être et le mieux-être, autant pour l’individu que la communauté. Musicienne-auteure-compositrice-interprète, Claudia continue d’explorer et de partager sa musicalité et son expression artistique, tout en la mettant au profit des autres.
Dan Misha Goldman détient un baccalauréat en performances jazz et une maîtrise en Thérapies par les Arts de l'Université Concordia. Il croit au développement d'un climat de confiance sécurisant et propice à la créativité, l'expression des émotions, la compassion envers soi-même et l'authenticité. S'inspirant de son expérience de plus de 20 ans comme musicien professionnel, Dan implique ses clients en recourant à une approche relationnelle, centrée sur la musique et basée sur l’écriture de chansons, la composition musicale et l’improvisation. À titre de musicothérapeute avec l'Institut, Dan a animé des séances de musicothérapie de groupe pour de jeunes adultes immigrants d'origine Syrienne/Arménienne. Il a aussi co-créé un programme de formation pour les musicothérapeutes, intitulé "Adapter sa pratique aux services de musicothérapie en ligne", lequel a été offert par l'Institut en partenariat avec l'Association canadienne de musicothérapie et l'Université Concordia. Dan travaille présentement comme musicothérapeute à la Résidence de soins palliatifs Teresa-Dellar, en plus d'avoir une petite pratique privée. Il a récemment complété, à l'Université du Québec à Montréal, un programme de 2ième cycle sur la présence attentive, et prévoit bientôt offrir des ateliers de la pleine conscience basée sur la musique.
Eleanor a été attirée par la musicothérapie à cause de la facilité qu'elle apporte pour entrer en contact avec les autres. Elle a travaillé avec des clientèles en soins de longue durée, centres de jour et santé mentale, dans des milieux communautaires, académiques et en ligne. Elle a pu constater d’elle-même combien la musicothérapie peut bénéficier à une diversité de populations, et ainsi avoir un impact social important. Dans sa pratique, elle recourt à des approches de musicothérapie humanistes, “ressources-inspired”, féministes, anti-oppressives et communautaires, pour répondre aux besoins individuels de chaque client. Eleanor a obtenu un baccalauréat en musique de l’Université de Toronto, puis un Diplôme d’études graduées et une Maîtrise en musicothérapie de l’Université Concordia. Spécialisée en chant classique, elle embrasse une diversité de styles musicaux, en plus de jouer du piano, de la guitare et du ukulélé.
Après l’obtention d’une maîtrise en théorie musicale à l’Université McGill, Méliane a souhaité trouver un moyen de recourir à la musique pour rejoindre les gens et les aider à vivre pleinement. Devenue musicothérapeute certifiée, elle s’est principalement impliquée en musicothérapie pédiatrique, auprès d’enfants vulnérables. Elle a beaucoup apprécié le travail en équipe interdisciplinaire, avec médecins, travailleurs sociaux et autres professionnels gravitant autour de cette clientèle. Par ailleurs, elle accompagne des adultes et enfants vivant, entre autres, avec un Trouble du Spectre de l’Autisme (TSA); des déficiences intellectuelles, physiques ou visuelles; troubles du langage; anxiété et douance. Selon Méliane, la musicothérapie permet aux gens qui en bénéficient de grandir, de développer de nouvelles habiletés, de s’exprimer et parfois même de retrouver certaines capacités. Au cours des prochaines années, elle souhaite faire progresser la musicothérapie et collaborer avec l’Institut pour réaliser sa Mission.
Depuis son jeune âge, Tanya joue du piano, adore chanter et aime travailler avec les gens, surtout avec les enfants. Voyant que la musicothérapie lui permet d’allier cet amour de la musique et son désir d’aider les autres, elle complète un Baccalauréat (2008) et puis une Maîtrise (2010) en musicothérapie. Elle oriente son travail vers les enfants présentant des défis particuliers, et a de l’expérience avec les bébés prématurés en milieu hospitalier. La musique est engageante et motivante, et les musicothérapeutes recourent à ce langage universel pour faciliter les interactions, tout en adaptant leur approche aux besoins et objectifs de chaque clientèle. Les recherches en musicothérapie, neuroscience et psychologie démontrent les bienfaits d’une utilisation judicieuse de la musique. En plus de son travail clinique, Tanya offre des services de mentorat auprès de nouveaux musicothérapeutes.
Après avoir vécu la perte dévastatrice de son bébé à six mois de grossesse, Martine devient bénévole au sein d’un organisme offrant de l'accompagnement pour les personnes endeuillées. Musicienne accomplie, et après avoir elle-même expérimenté le pouvoir guérisseur de la musique, elle retourne aux études et devient musicothérapeute certifiée, ce qui lui permet alors de recourir à la musique dans le cadre d’une approche thérapeutique professionnelle. Son parcours l’a amenée à concevoir des programmes de musicothérapie destinés aux personnes endeuillées, pour les aider à briser leur isolement et faciliter l'expression émotionnelle dans un environnement bienveillant, empreint de sensibilité empathique et de compassion.
Le lien entre la musique et la psychologie s’est rapidement établi au cours du parcours universitaire de Rachel. Elle obtient d’abord un baccalauréat en interprétation de clarinette et complète une mineure en psychologie à l’Université McGill. Elle poursuit ensuite ses études en musicothérapie à l’Université Concordia: sa thèse de maîtrise porte sur les fondements théoriques de la musicothérapie et la théorie de l’attachement. Elle a enseigné la musique à des enfants d’âge préscolaire, travaillé auprès de jeunes avec handicaps et déficiences importantes et auprès d’adultes avec des troubles du développement. Elle a aussi offert ses services à des mères à risque et à leurs enfants. Elle croît au fort potentiel de la musicothérapie pour les familles vulnérables et souhaite que ses bénéfices deviennent plus facilement accessibles pour cette population. Elle travaille présentement dans une école pour enfants avec besoins particuliers.
Chanteuse soprano, choriste et percussionniste professionnelle, Sophie a été professeur de chant et de musique pendant 7 ans avec des enfants vulnérables dans Hochelaga-Maisonneuve, à Montréal. Elle a ensuite ressenti le désir de devenir musicothérapeute pour encore mieux utiliser la musique en vue de soutenir et aider les gens. Son stage dans un milieu de réadaptation physique et neurologique a été une véritable révélation, l’amenant à développer un profond attachement envers cette clientèle. Que ce soit pour offrir un moyen d’expression d’émotions parfois enfouies, faciliter une connexion verbale ou musicale, favoriser le bien-être, ou soutenir les apprentissages ou la réadaptation, la musique est un langage universel, présent dans la vie de chaque être humain, de tout âge, condition ou culture. Sophie souhaite que la musicothérapie continue de gagner en reconnaissance et en importance, tout en devenant plus facilement accessible pour ceux qui pourraient en bénéficier.
Marie-Fatima est devenue musicothérapeute parce qu’elle veut aider les gens, tout simplement. Son engagement est à la fois vaste et multidimensionnel. En soins palliatifs, elle accompagne ses clients pendant ces moments fragiles, précieux et imprévisibles, lesquels peuvent être beaux même face à l’incertitude et la crainte. Dans son travail auprès d’enfants et d’adultes non-verbaux, elle utilise la musique comme forme de communication expressive et les guide vers la création de leur propre langage musical. Avec la clientèle autiste, elle aime découvrir et célébrer les talents, forces et défis uniques de chacun. Marie-Fatima comprend le sentiment de découragement et de solitude des personnes dont l’avenir est incertain. Elle mise sur la pratique de la musicothérapie pour offrir une lueur d’espoir et des moments de beauté et d’authenticité.